Je suis auto-éditeur :
SOURCE : Copilot : L’auto-édition, également écrite “autoédition” ou “auto édition”, représente le fait pour un auteur de gérer lui-même l’édition de son livre, sans passer par les circuits traditionnels de l’édition. Contrairement à l’édition à compte d’auteur ou à l’édition à compte d’éditeur, dans l’auto-édition, l’auteur décide librement de la couverture, de la stratégie de promotion du livre, de la conception des maquettes et même de l’impression. Il peut choisir de réaliser ces activités lui-même ou de les confier à des prestataires tiers tels que des graphistes, des correcteurs, des maquettistes, des imprimeurs ou des attachés de presse. L’auto-édition s’adresse à une variété de profils, notamment les auteurs débutants, les auteurs expérimentés, les auteurs d’ouvrages spécifiques (essais, biographies, guides, poèmes), les petites et moyennes maisons d’édition, les professionnels et les entreprises. Les raisons de s’auto-éditer sont multiples : certaines personnes préfèrent cette méthode pour la liberté qu’elle offre, tandis que d’autres souhaitent créer un livre familial destiné à un cercle restreint de personnes ou un document professionnel pour leurs clients.
J’ai été souvent sollicité par des maisons d’éditions, mais leurs propositions de contrats de ne conviennent pas pour l’instant. Il faut savoir qu’il y a deux types de contrats :
1-A compte d’auteur
2-compte d’éditeur.
Et pour l’instant les propositions sont à compte d’auteur ! Et dans ce type de contrat, c’est l’auteur qui prend les risques d’un fiasco commercial. Sans compter les frais pour faire la promo imposée par l’éditeur, payer les tirages une fortune, etc… Bref pour moi ce n’est pas intéressant !
En étant mon propre éditeur, je maîtrise tout, j’ai aussi toutes les tâches à réaliser seul ( revers de la médaille), mais sur le plan économique : aucune prise de risque !
Il suffit de trouver un prestataire qui imprime à la demande et qui expédie, qui encaisse et qui vous reverse les royalties. Cette méthode est celle qui me convient. Si une maison d’édition un jour me propose un « vrai » contrat et bien je verrai…
